Quelques questions sur le rapport financier de KiriKou nous ont été posées. Selon les notes prises malgré les "vindictes"lors de l'assemblée générale ordinaire du 6-03-09, on peut dire que les finances de la commune ne permettent pas les desiderata formulés lors de cette assemblée.
Le prix de revient de KiriKou est largement supérieur à 100 euros, par an, par aubiétain, nouveaux nés compris!
A signaler que les comptes doivent inclure le prix de revient des bâtiments municipaux et des charges afférentes... beaucoup d'autres choses à dire que nous mettrons en lumière le moment venu.
S'agissant de la " pause méridienne" on ne saurait avoir la mémoire trop courte: la délégation de cette pause à KiriKou a provoqué à la rentrée 2008, le renvoi de deux employées municipales méritantes et polyvalentes qui avaient dispensé, des années, sans compter, leurs bons et loyaux services .
Le directeur de KiriKou, Mr Touron, dit qu'il lui faut garder la " pause méridienne" pour péréniser deux emplois créés à cette fin dans son association, il y a quelques mois. De qui se moque-t-on?
Etrange hégémonie que cette association qui balaie l'emploi municipal et ponctionne le budget communal ( 20% au moins)précarisant la capacité financière et ainsi étranglant le développement aubiétain.
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