Quand le rêve vert cède la place aux dures réalités

La méthanisation présentée comme mirifique se révèle peu à peu dans sa bien triste réalité.
Quand une unité qui coûte des millions d'euros doit démarrer, le rêve cède la place à l'angoisse.
Le principe chimique du biogaz amène dans son exécuton pratique quelques déconvenues et le carosse devient citrouille:la transformation en énergie requiert des déchets carnés,par exemple, pour que "ça marche".
Toutes les promesses environnementales s'oublient et place au méthane et au CO2 et à la prolifération bactérienne.
Le talon d'Achille de l'énergie verte est atteint: outre les coûts faramineux pour un rendement très hypothétique, voilà que s'invite la question sanitaire.
Chaque camion qui devait être contrôlé est alors invité à fournir les produits nécessaires les plus sombres...pour que "ça marche"!
Le public de la réunion publique du 21 Février dernier à Aubiet avait soulevé le problème; les élus offusqués avaient répondu...Face au tsunami de méthanisation, que va-t-il se passer?